--> Jean qui rit, Jean qui pleure. 50 Cent a retrouvé son compte en bitcoin. Frédéric Montagnon, lui, a un compte Ethereum dont il n'a plus le mot de passe. Trop ballot, ça... Mais l'ancien patron d'Overblog vient de boucler l'ICO (méthode de levée de fonds, via l'émission d'actifs numériques échangeables contre des cryptomonnaies) de Legolas Exchange (un nouveau protocole blockchain) pour 32M$. Le tout en l'espace de 9 heures. 9166 personnes ont participé, en provenance de 50 pays différents, Coréens en tête (22%)... la France apparaît très loin dans la liste. Frédéric Montagnon nous confie qu'il n'a que 1% de femmes dans ses souscripteurs : "Nous avons donc construit une marque globale... mais uniquement chez les hommes, dommage..."
--> C'est Atif Rafiq, le Global Chief Information Officer et CDO de Volvo Car Group, qui a clôturé le hackathon Volvo à Station F, jeudi dernier, de manière particulièrement efficace. "Comment repenser la digitalisation de l'entreprise ? Et bien, il faut juste se demander : 'What would Amazon do ?'". Un exercice qui devrait être plutôt facile pour cet ancien d'Amazon.
[Annonce partenaire] Un acteur international référent du divertissement et des jeux vidéo recherche son Game Director (H/F) pour accompagner le développement d’une des plus grandes licences du groupe. Pour postuler c'est par ici.
--> C'est la fin des 'pitch parties' annonce Frederic Bascunana vendredi dernier. L'une des raisons, stupéfiante, évoquée dans son mail ? "Les brioches Pasquier ont bloqué la marque "Pitch" en France, pourtant partie intégrante d'un patrimoine mondial. (...) Ils vendent des brioches mais ont bloqué la marque dans les classes qui nous concernent : la formation notamment."
--> Il fallait oser : Nicolas Merlaud et Adrien Degouve ont décidé de nommer leur agence, spécialisée dans la vidéo... "Idiot", pour illustrer leur volonté de "produire moins bête". Parmi leurs premiers clients : Airbnb, Meetic ou Danone.
--> Dans les prédictions pour 2018 de SpotX, la filiale du groupe RTL dédiée à la vidéo en ligne, le sport occupe une place de choix. C'est ce qui pourrait faire décoller la télévision connectée et les services "OTT" : les GAFA sont très intéressés par le rachat de droit sportifs. Mais les acteurs historiques expérimentent aussi sur ce terrain : en janvier, Eurosport diffusait la rencontre Rennes / Paris Saint-Germain uniquement sur son "player" en ligne, commercialisé 9,99€ par mois.