--> Emery Jacquillat, le Pdg de la Camif, appelait les annonceurs à baisser de 2 % leurs investissements sur Google suit eà la hausse de tarifs pour compenser la taxe GAFA (voir ici). Sa tribune n'est pas passée inaperçue, en particulier sur Linkedin. Et a suscité cette suggestion de Pascal Gayat, un vieux de la vieille comme Petitweb : "En 2004 des annonceurs d'Overture et Google d'un même vertical baissaient régulièrement leurs enchères ensemble pour faire repartir l'algorithme à 0, ça profitait à tout le monde sauf à Google et Overture. Pourquoi ne pas lancer un mouvement global de ce type ? Je suis très étonné qu'on ait perdu ces réflexes. La peur de l'effet sur le Quality Score c'est ça ? Les actions en cohorte sont les seules potentiellement efficaces."
--> Il était assez savoureux de voir les Pdg de Facebook; Spotify et Shopify critiquer la politique de taxation d'Apple dans le domaine des applications et son changement de politique en matière de traçage de la publicité. En effet, Clubhouse n'est pour l'instant disponible que sur les appareils Apple. Ce joli coup est dû à Josh Constine, de Signal Fire qui a fait de cette émission un objet NFT. Quand on vous dit que la blockchain est The Next F... Thing ! (voir notre papier).
--> Shaan Puri, le fondateur de Bebo, parie que Clubhouse n'est pas le phénomène qu'on nous promet partout. Sa démonstration sur Twitter est assez convaincante. Et si vous lisez l'Anglais, Crystal clear...
--> Luke Start est un data scientist qui devait recevoir une récompense pour son travail de recherche en data de Google. Dans ce twit, il explique pourquoi il a refusé cette récompense prestigieuse : Google a licencié ses deux responsables de l'éthique de la data. Et il engage les gens qui le félicitent de signer la pétition et de rejoindre les combats des travailleurs de la Sillicon Valley. Les temps changent...
--> Emmanuel Faber a choisi de publier sa carte d'entreprise sur Twitter pour tirer sa révérence. Un joli message pour celui qui n'a pas du avoir le loisir de faire son pot de départ.
--> Roy Bahat est enseignant à Berkeley en business des médias et il explique dans ce thread pourquoi il préfère faire ses cours sur Zoom. Sa préconisation pour l'an prochain ? Avoir le premier et le dernier cours en présence, et le reste en ligne.