Winter is coming. Les oiseaux de malheur s'appellent Steve Pearlstein, du Wash Post, prenant le vrai faux deal Twitter Musk comme le signe avant-coureur de l'explosion de la bulle, à l'instar de la fusion AOL Time Warner en juin 2018. Et Y combinator, le fameux fond d'amorçage américain, qui prévient les start up.
Petit Web a déjà vécu deux bulles. Et n'a pas vraiment rigolé pendant ces périodes. La prochaine aura quand même le mérite de rafraîchir un marché RH en surchauffe, à cause des pratiques salariales délirantes des start up surfinancées (3 000 € pour un alternant, qui dit mieux ? ). Et de séparer le bon grain de l'ivraie. Seront-ce les metavers, qui passionnent actuellement les annonceurs (voir notre papier) ? Ou au contraire, ceux qui auront axé leurs efforts sur le servage exercé par les plateformes ? Les cigales ? Ou les fourmis ?
Geneviève Petit