Deux rencontres, deux styles : cette semaine, nous étions à San Francisco pour assister au sacre de Benioff le Magnifique à sa grand messe Dreamforce, sur fond de Metallica. Et, à France Digitale Day, à la rencontre du très discret Zia Chishti, qui en est à sa troisième licorne. Tous deux veulent le bien de la planète. Bizarrement, on a préféré le second. Enveloppé dans sa couverture bleue à l'espace VIP du musée des arts forains, il donne sa carte de visite à la personne qui l'interroge, parle avec des mots simples de sujets compliqués, et nous conforte dans l'idée que les grands esprits le sont toujours. De simples humains...