C'était il y a 30 ans. Un siècle, donc. Nous étions en charge d'inventorier les cadeaux de fin d'année. Ceux-ci étaient ensuite tirés au sort. Une pièce entière leur était consacrée. A l'époque, trois hebdomadaires s'adressaient au marché publicitaire. Et les médias, afficheurs en tête, rivalisaient de prodigalité.
Chéri, j'ai rétréci le marché.
Pas de regret pour ces prévarications soft, qui se résument aujourd'hui à une bougie parfumée, une plaque de chocolat, ou une bouteille de champagne. Pas de regret, non. Mais la nostalgie nous vient, dans cette période accélérée, de journées passées à écrire des vœux sur des cartes en papier. Alors on vous souhaite, cette année, d'avoir le luxe de perdre votre temps.

PS : prenez le temps d'un petit tour ici, à la rencontre des 3 comètes de notre Grand Prix de l'Innovation digitale. Et là, car ce n'est pas tous les jours qu'une start-up parle aussi franchement...

Geneviève Petit