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LOL

La ligue du Lol. Dix ans de harcèlement à ciel ouvert, en toute impunité. Les clash font monter la courbe des followers. La foule anonyme aime le sang, la chique et les mollards. Et le nombre de follower aide à grimper dans les cercles d'influence. Une bonne école, cette franc-maçonnerie de la lapidation en ligne (qui endure depuis 10 jours un retour de boomerang planétaire) : des "Loleurs" aux manettes du Community management d'En Marche, chez Libé,  Slate, les Inrocks, TPMP...
Cerise sur le gâteau, la complicité des plateformes, qui font leur business sur les RT, les TT, alimentés par les clashs. Et recommandent à leurs nouveaux arrivants des harceleurs, donc.
Tellement drôles.
A l'époque.
Facebook, Youtube, Instagram, Twitter,  doivent se désintoxiquer. Ou nous, nous désintoxiquer d'eux. Sign of the time, en janvier, Loic Le Meur, l'un des plus anciens enfants du net, a déserté tous les réseaux sociaux...

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