Ainsi donc, Mark Zuckerberg parie sur une sélection naturelle de l'espèce qui peuple ses bureaux : dans une allocution interne, il a prévenu : les personnes qui ne se sentent pas au niveau doivent partir d'elles-mêmes. Une sorte d'application business des antiennes d'extrême-droite (façon "la France tu l'aimes ou tu la quittes". Mais là il s'agit d'être "au niveau" de ce nouveau pays qu'est meta, ou de s'auto-désigner comme clairement insuffisant et de prendre la porte dans un bel élan de solidarité corporate).
La question est de savoir si cette approche darwiniste va convaincre les cracks de la tech à rejoindre l'entreprise, et les cancres à la quitter. A votre avis ?
Geneviève Petit