Un an après la déflagration de la Ligue du Lol, Vincent Glad, qui avait créé ce groupe privé sur Facebook, revient sur sa crucifixion en place publique. Même si Vincent n'est pas un ange, son auto-enquête fait froid dans le dos. Et on aimerait la voir citée par les journaux mêmes qui ont suivi les réseaux sociaux dans cet hallali. Aujourd'hui, Glad ou Griveaux sont victimes de la peine d'exposition publique, dont Glad souligne qu'elle a pourtant été abolie en 1848. Reste un espoir : que l'éducation à la prise de parole en public fasse son chemin. Seriez-vous d'accord de ne partager que ce que vous seriez prêts à afficher en 4X3 devant chez vous ? En photo, en vidéo, mais aussi en mots. L'avantage, si on s'y met tous ? Beaucoup moins de pollution, écologique et mentale, en perspective...
Geneviève Petit